Le bonheur plus fort que l’oubli

Voici le livre de Colette Roumanoff sur la maladie d’Alzheimer.

le bonheur plus fort que l'oubliBONHEUR PLUS FORT QUE L OUBLI

13 réflexions sur « Le bonheur plus fort que l’oubli »

  1. Ping : La fin de l'ennui ou le début des ennuis?Bien vivre avec Alzheimer

  2. Sabine de Lombardon

    Bonjour Colette
    Je suis en train de lire votre livre et vous remercie du fond du coeur pour tout ce que vous m »apportez.
    Mon frère est atteint de la maladie d’Alzheimer, diagnostiquée il y a 2 ans. Il a aujourd’hui seulement 64 ans. Je l’aime profondément et souhaite l’accompagner du mieux que je peux. Votre témoignage et vos conseils sont précieux. Sa femme est uruguayenne et donc de langue espagnole. Votre livre a t’il été traduit ? J’aimerais tellement qu’elle puisse le lire !

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  3. Ping : La fin de l’ennui ou le début des ennuis?Bien vivre avec Alzheimer

  4. Ping : The slow aiding, une nouvelle manière d’aiderBien vivre avec Alzheimer

  5. Ping : Relire Dolto pour s’approprier la relation de dépendanceBien vivre avec Alzheimer

  6. Ping : L’amour fusionnelBien vivre avec Alzheimer

  7. Ping : Qui êtes-vous ? Je ne vous  connais pas!Bien vivre avec Alzheimer

  8. Ping : Comment décoder les comportements aberrants?Bien vivre avec Alzheimer

  9. Ping : La mémoire est-elle un buvard?Bien vivre avec Alzheimer

  10. Ping : Les ravages d’un week-end à l’hôpitalBien vivre avec Alzheimer

  11. Ping : Booster sa patienceBien vivre avec Alzheimer

  12. Jacqueline Provost

    Chère Colette j’attends avec impatience votre livre qui j’espère fera bouger les consciences médicales. Je sors éreintée d’une consultation de suivi à l’hôpital pour la MA de mon mari où on n’a su que me faire des reproches car j’ai mis 1an à me décider à lui faire mettre des patchs d’Exelon , car je n’ai pas encore trouvé d’orthophoniste. On lui a fait passer un petit test de mémoire et les résultats ont été semblables a celui passé il y a un an mais le médecin s’est offusqué qu’il ne sache pas la date du jour! lui pour qui c’est tous les jours dimanche depuis sa
    retraite.
    J’ai tenté de parler de vous de votre approche plus humaniste de la maladie mais en vain, c’est pourquoi j’espère que vous avez de bonnes attachées de presse pour qu’on parle de votre livre et de votre vision de la MA dans tous les médias .

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    1. coletteroumanoff

      Chère Jacqueline,
      « Le médecin s’est offusqué qu’il ne sache pas la date du jour! » C’est justement un des signes de la pathologie! Si le médecin reproche au malade sa maladie, c’est qu’il n’a compris ni son rôle ni sa mission. C’est à nous d’apprendre aux médecins comment traiter un malade qui répond heureusement de très bonne façon quand ses besoins sont reconnus et satisfaits. Savoir la date du jour est pour lui un luxe bien inutile, il vit au présent dans son monde avec d’autres repères, très loin de celui des médecins qui veulent à tout prix le forcer à rentrer dans le droit chemin du calendrier.

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